La traque du canidé - Shinji Nakata
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La traque du canidé - Shinji Nakata
Nakata Shinji

Chasseur Acharné

Nakata Shinji

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Date d'inscription : 08/09/2020

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La traque du canidé - Shinji Nakata — Mar 8 Sep 2020 - 21:12


I. LE PERSONNAGE.


• NOM :Nakata
• PRÉNOM : Shinji
• GENRE : Masculin
• ÂGE : 19 ans
• RACE : Humain
• METIER : Navigateur
• FRUIT DU DEMON : Fruit du Bake-danuki
• CAMP : Chasseur de prime
• AUTRE CAPACITE : Sabreur
• AVATAR :
Shoto Todoroki - MHA

II. LES DESCRIPTIONS.


MORALE
D’une nature froide, reflétant bien le côté sournois du Tanuki, il est rare que le garçon ouvre son coeur au grand public. Bercé par la rude vie à Cinter, le jeune homme dû très vite apprendre à garder une espèce de constant sérieux. Il n’est pas défini comme quelqu’un de fun, et essaye le plus souvent possible d’être raisonnable.

Le Nakata est généralement décrit comme quelqu’un de malhonnête, de mauvais et de manipulateur. Une chose qu’il ne comprend pas, des adjectifs qu’il reçoit bien souvent à cause de sa volonté de ne pas vouloir être transparent sur ses émotions. Parfois arrogant, les rares sourires illuminant son visage jouent dans le domaine de la provocation.

Un coeur fermé depuis tout petit, et endurci depuis son exil forcée, Shinji cherche à combler son manque de connaissance par une famille, qui l’accepterait malgré tout. Pour autant, le jeune chasseur ne cherche pas à se construire les dites relations, considérant ces dernières comme devant être naturelles. L’homme-tanuki est persuadé d’un jour devoir retourner sur Cinter, afin de revoir ses parents.

Rêveur, le bicolore possède de nombreux objectifs, comme celui de reprendre les rennes du royaume dans lequel il a vécu. Néanmoins, Shinji ne se donne que très peu de moyens, se laissant couler dans sa routine, bercé par les moments de repos qu’offre la vie d’un chasseur de prime.

Derrière son aspect de gros dur, se cache en réalité un grand sentimental. Parfois charmé par les demoiselles, parfois attristé par la nostalgie de son enfance, il s’efforce à rester stoïque. Une fois la barrière franchie, il est possible de se rendre compte de la gentillesse du personnage, ce dernier étant prêt à tout pour ceux qu’il aime.

Etrangement, le mercenaire n’aime pas se battre.Adepte de la solution de facilité, il essaye bien généralement de ramener les primés en vie, sans même avoir à combattre. Son fruit du démon l’aidant énormément, il a appris à accepter son côté animal, ainsi qu’à apprendre à user de ses pouvoirs.


PHYSIQUE
Du haut de son mètre quatre-vingt cinq, Shinji possède une fine silhouette. Au bord d’une certaine maigreur, le garçon est profilé en longueur. Ses épaules sont serrées, tout comme ses hanches. Ses muscles sont légèrement dessinés, mais fortement mis en avant par la manque de graisse sur l’ensemble de son corps. Son visage est fin, et semble assez enfantin, bien que le chasseur soit âgé de dix-neuf ans.

Shinji se voit être coiffé d’une coupe de cheveux bicolores. Aussi blanche que rouge, elle représente globalement le physique du personnage, tant celui-ci se démarque par cet aspect. Pour autant, son visage présente d’autres éléments déterminants, comme sa tâche de naissance sur son oeil. Ou encore la particularité d’avoir un oeil de différente couleur de chaque côté.

Le chasseur de prime se voit aussi marqué d’une lourde cicatrice dans le dos, longeant sa colonne vertébrale. Bien plus que des points de sutures, la peau est véritablement marquée, comme s’il avait été violemment frappé par un fouet. La raison de cette marque reste toujours inconnu au grand public, le garçon ayant toujours préféré éviter la question.


III. L'HISTOIRE.



L’ascension d’un chasseur de prime.

“Dans le marais de la triste forêt, il avançait. La peau couverte de poils, le chapeau campagnard à base de bambou tombant sur son front, couvrant la moitié du visage. De sa main droite, une branche l’aidait à se déplacer. Sur le bout du morceau boisé, une lampe orangée sur lequel brillait le motif de la famille royale. Soudainement, l’immense bête s’était arrêtée à la vue du malheureux voyageur. Relevant petit à petit sa tête, il dévoilait sa tête longue et fine. Ses babines couvertes de sang ne laissaient aucun doute sur la nature de ses actes passés.”


Toute ma vie durant, je n’ai jamais cru à cette légende racontée autrefois par grand-mère. Du moins, j’aurais aimé ne jamais la croire. Je m’appelle Shinji. Shinji Nakata. Aujourd’hui professionnel dans le monde de la traque, je proviens d’une île de simplet nommée Cinter. Une île poisseuse, puante et non-accueillante. Pas étonnant que ma décision fut de plaquer mon ancienne vie dès que j’en eu la possibilité.

Cinter est une île de petite taille, à l’aspect lugubre. Un épais brouillard pèse sur l’ensemble du territoire, si bien que les rayons du soleil peinent à totalement se faire voir. Ainsi, lors des beaux jours, nous avions le droit à un beau ciel grisâtre au-dessus de nos pauvres têtes. Les terres y sont très cultivables grâce aux nombreux marais et polders. La nourriture pour ainsi dire coule à flot, empêchant les corps de crier famine.

Les terres sont bonnes malgré l’absence de luminosité, tant le sol est riche. C’est pour cette raison qu’énormément de familles se voient vivre uniquement d’une exploitation agricole. Pas d’instituts éducatifs, pas de beaux métiers, non, rien que du traitement de matière première. Les codes moraux se basent encore sur un système misogyne, où la notion de noblesse ecclésiastique semble encore avoir sa place.

J’ai, au fur et à mesure des années, développé une thèse, expliquant que l’absence d’une intensité de soleil suffisante sur Cinter, provoque à long terme une décroissance des capacités cognitives sur les habitants. En d’autres termes, tout le monde n’a pas la lumière à tous les étages.

Papa et maman n’étaient pas des figures intellectuelles parfaites. Pour autant la nature ne m’a pas sévèrement cravaché dès la naissance. Maman était une fille de clerc ayant reçu une certaine éducation, avant d’être vendue comme un vulgaire bétail auprès de la famille de Papa. Itan, mon paternel, provenait de son côté d’une famille de chasseur.

Non pas les chasseurs traditionnels, comme monsieur Flendars le voisin agaçant que je devais saluer tous les matins durant mon enfance, mais bel et bien un autre type de traqueur. Employée par la milice royale, la famille de Papa eut la bonne idée de léguer à l’aîné le devoir de répondre aux contrats du Roi Brume. Un devoir à prendre ou à laisser, bien que la seule chose à y laisser dans le cas d’un quelconque refus envers la royauté reste la mort par décapitation.

Ainsi, étant fils unique, j’ai alors appris la rudimentaire loi de la traque à l’homme. Papa n’était pas qu’une brute, bien que son physique beaucoup plus proportionné que le mien laissait paraître sa colossale force. Pour lui, il était important de devoir mettre sa morale de côté pour le bien de la communauté. Les contrats venaient bien souvent par le biais d’un abruti plus stupide que son âne qui le transportait. Une lettre ne comportant que nom, prénom, portrait physique, détails des crimes, ainsi que le lieu de la dernière apparition publique.

C’est alors en travaillant par binôme, aux côtés de mon père, que j’appris lentement le métier de chasseur d’hommes. Un métier que je traîne derrière moi depuis mes douze ou treize ans, un héritage traditionnel que je continue de respecter même hors des terres de Cinter. Désormais, la mer de l’ouest est entièrement mon terrain de jeu.


L’ascension d’une bête.
Oui, je suis très tôt devenu un chasseur de prime au sein de mon royaume natal. Un métier que beaucoup envient, mais qui oblige à assumer de lourdes conditions de travail. Météo, fatigue, dangerosité face à l’adversaire, gain mensuels variables, sans pour autant parler de la pression effectuée par la noblesse de Cinter.

Oui, une pression non-négligeable, qui fut -je l’imagine- à la base de ma formation prématurée. Papa, même sans le dissimuler, craignait l’instance supérieur. Non pas pour sa vie, mais bien celle de sa femme, incapable de se défendre. Mon statut d’homme en phase d’apprentissage m’obligeait à le remplacer lorsque la situation l’imposait. Quand il était malade ou gravement blessé.

Je n’avais qu’une misérable année d’expérience auprès de mon père lorsque je dus le déléguer pour la première fois. Une première fois usante, qui n’était en réalité qu’une traque d’un lâche fuyard, n’ayant même pas osé dégainer son arme lors de la confrontation finale. Une traque s’étant déployée sur plusieurs dizaines de jours.

Pourtant la plus marquante ne fut pas cette dernière, mais une autre se déroulant aux alentours de mes seize ou dix-sept ans. L’homme, ou plutôt la femme recherchée, était une personne refoulée par son village natale, reconnue pour être une manipulatrice de magie noire. Je ne suis pas suspicieux, et ne l’ai jamais été. C’est pour cette raison, que sans être accompagné de mon père, je n’eus point peur de me diriger en direction du marais.

La maison était bien en évidence, au milieu des flaques de boue, sur des espèces de pilotis. Armé de mon sabre d’époque, je m’étais introduit dans la maison, avant de vulgairement trancher le torse de la femme. En y repensant, je plaignais la vieillarde suppliant de l’épargner. Aucune résistance, simplement du sang versé inutilement.

Un événement anodin pour un chasseur de prime m’ayant attristé, sans pour autant provoquer de lourdes séquelles psychologiques. Pourtant, la mort de la femme marqua définitivement un tournant dans mon existence, particulièrement durant le moment de la fouille. Une fois la personne décédée, il est de coutume de vider la demeure -si demeure est- avant de quitter les lieux, avant même que l’éclaireur de reconnaissance ne vient déterminer l’avancée du contrat.

Tout était bon pour alourdir nos gains durant les missions. Les placards de nourritures étaient vidés, les armoires à vêtements pillées, les sacs de bourses réquisitionnés, parfois même les objets de valeur. C’est sur une table assombries par les feuilles d’arbres recouvrant partiellement la fenêtre que j’eus ma révélation. Il était là, singulier, au milieu du pain et des pommes. Plus gros et coloré d’une teinte marron, il m’envoûtait.

Aucune odeur, aucun aspect physique alléchant, pourtant je lâchais mon sac de pilleur, avant de traîner les pieds en direction du mets. Comme s’il semblait être doté d’un quelconque pouvoir de parole, il m’appelait, criant à être mangé. La bouche baveuse, comme si j’étais un affamé, je plongeais subitement sur la corbeille de nourriture, bousculant une chaise, manquant de casser un pied de table.
Vladadam, le vacarme trahissait ma position à quelques mètres aux alentours. Étais-je pour autant perturbé? Pas du moins ! Mes mains glissaient sur la peau du fruit muni d’un léger duvet. Ma bouche se rapprochait, les dents sorties, afin d’y goûter. La première bouchée fut amère, et les autres sans goût. S’en suivirent des nausées accompagnée d’une intense douleur aux dents, aux ongles, ainsi que sur l’ensemble de mon épiderme. Finalement, au bout de toute cette souffrance, une simple perte de connaissance m’attendait…


Le tragique évènement.

Je me souviens qu’à mon réveil, un goût de fer inondait mes gencives. Les yeux pâteux, je m’étais forcé à regarder tout autour de moi. Des barreaux, des murs. Il ne fallait pas être un génie pour comprendre la nature des lieux. En revanche, les questions fusaient. Pourquoi étais-je ici? Où étais-je exactement? Et d’où venait cet ignoble goût?

“Ehhh ! Libérez-moi, j’suis innocent… Oh, non j’espère qu’on m’a pas arrêté pour le meurtre de la vieille… Si c’est pour ça, sachez que j’ai une lettre de la royauté, normalement ! Je suis chasseur de prime !”

J’étais à la fois paniqué, et attristé de finir dans un cachot. Je ne souhaitais qu’une chose : sortir. Ainsi, je n’avais pas eu peur de demander à l’aide, même si personne ne semblait me répondre. Seul mon écho, rebondissant sur toutes les parois de la salle des geôles m’accompagnait dans ce  pitoyable monologue. Sans réponse, je soupirais tout en baissant la tête, contraint de rester dos contre mur à cause d’une chaîne immobilisant mes chevilles.

C’est au bout de quelques miraculeuses minutes, que le bruit d’une porte me happa soudainement hors de mon état d’intense remise en question. Le grincement des gonds m’avait fait bondir. Les claquements de chaussures contre le sol de pierre me faisait lentement lever mon regard. Face à moi, un homme. Grand, recouvert d’une épaisse coquille recouvrant l’intégralité de son corps.

Sur son armure, une cape était installé au travers de son dos. Autour de sa taille, une épée basculait au rythme de sa marche. L’armure dorée ne laissait aucun doute, il s’agissait bien là de la garde royale. Sa marche lourde était impressionnante. Sa carrure n’était pas très développée, pourtant la puissance de cet homme ne semblait pas être dans les normes d’un individu normalement constitué.

“Homicides volontaires contre un groupe d’individu. Cannibalisme. Dans un cas normal, votre peine s’élèverait à la peine de mort pour avoir commis un crime sans mandat de la royauté. Pour autant, votre folie semble être veinarde. Sans le savoir, vous avez eu la chance de littéralement dévorer un groupe de rebelle s’opposant à la noblesse.”

Mon regard tremblait tandis que des courtes séquences de souvenir remontaient. Je me voyais dévorer des tripes, munis d’un physique animal. Oui, petit à petit, je me souvenais avoir dévoré un groupe de trois, ou quatre individus.

“Si ça ne tiendrait qu’à moi, votre peine serait de rejoindre la garde royale jusqu’à la mort, malgré vos déficiences comportementales. Le tribunal quant à lui, vous oblige à l’exil. Demain, vous quitterez le royaume de Cinter. Aucune cérémonie, aucun pardon. Vous êtes bannis définitivement de ces terres, sans suite envers le gouvernement mondial. Soyez heureux, une nouvelle vie s’ouvre à vous.”



La découverte d’un vaste monde.

C’est depuis mon exil que j’appris de nombreuses choses. La particularité de mes pouvoirs responsable de ma sanction. La rareté de mon fruit du démon, et une partie de ses capacités. L’ampleur du gouvernement mondial, et des pirates. L’étendue du vaste monde, des différentes mers et des grosses têtes influentes.

Bien qu'il en est à l'origine de ma fuite forcée du royaume de Cinter, les pouvoirs conférés resteront définitivement une bénédiction. Usurpation, tromperie, et capacités hors-normes me procurent une facilité déconcertante. Usage quotidien ou à but professionnel, il ne m'a fallut que très peu de temps afin de m’accommoder à cette nouvelle habitude. Une utilisation presque instinctive, me permettant de palier à de nombreuses situations problématiques.

En revanche, un temps d'adaptation fut plus rigoureux pour d'autres aspects. Les premiers mois furent rudes sur l'aspect psychologique. Pour être honnête, je n'ai toujours pas compris la réaction de mon pouvoir, m'ayant poussé à commettre des actes de cannibalisme. En revanche, je suis persuadé que le choc émotionnel d'avoir été écarté de ma famille et de ma nation accentua l'animalisation de ma personne.

Forcé de vivre reclus, à l'écart d'endroits fortement fréquentés. Il aurait été idiot de gâcher ma vocation de chasseur de prime, à cause du fait d'être devenu un homme-blaireau. C'est durant ces moments passés sur les îles forestières, qu'un bref bilan de mes limites furent posés. L'eau de mer, ça fait mal. Faire apparaître des objets, ça donne faim. Se transformer en animal, c'est cool.

Finalement, avec un grand travail sur ma propre personne il m'est devenu possible de réintégrer la société. Domptant ma seconde nature, cette dîtes animalisation se faisait de plus en plus rare, au fil des événements, jusqu'à avoir aujourd'hui totalement disparue. L'isolement m'a permis de faire une remise en question, me menant naturellement vers une solitude heureuse.

Un passage de ma vie n'ayant pas duré plus d'une année, mais qui pourtant fut nécessaire. Un besoin pour mener la vie souhaitée de chasseur de prime, qui pourrait être imagé par un fleuve parfois mouvementé, m'amenant ensuite vers une mer de tranquillité. Un métier forçant à vivre seul, et nécessitant un plein contrôle de ses émotions, sous peine de péter les plombs à la moindre vision choquante.

De ce fait, j'ai pu respecter les vieilles traditions, soit être chasseur de prime, et ceux de père en fils. Les adversaires que j'aurais parfois pu trouver coriaces le sont moins, grâce à mes facultés. Les ennemis que j'aurais pu trouver monstrueux sont désormais coriaces, grâce à ces mêmes facultés.

Gagner son pain, c'est bien. Mais gagner son pain tout en restant blanc, c'est excellent. Parfois considéré comme sournois, mon fruit me permet alors d'imaginer des stratagèmes, afin ne plus avoir à faire couler le sang. Certes, il m'arrive de faire acte de violence. En revanche, le taux de mortalité -chez mes proies- a fort heureusement diminué, Dieu merci.

A l’instant de l’écriture de ce récit, je me dirige sur le royaume de Luvneel, les poches bien remplies de ma dernière chasse. Sur cette barque, je n’attends qu’une chose : retrouver ma demeure. Sachez que si désormais tout semble repartir sur une pente montante, deux êtres me manquent toujours autant.



IV. DERRIÈRE L'ECRAN.

TON PSEUDO ? Shinji
QUEL ÂGE ? 14 ans, askip
COMMENT TU ES VENU ICI ? Bouche à oreille
TES IMPRESSIONS ? Je ne préfère pas me prononcer à l'avance.


FICHE PAR FALLEN SWALLOW

Nakata Shinji

Chasseur Acharné

Nakata Shinji

Dorikis : 1700

Messages : 12
Date d'inscription : 08/09/2020

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Re: La traque du canidé - Shinji Nakata — Mar 8 Sep 2020 - 21:16
Coucou, désolé du double post ! Je demande juste un petit tirage de FDD ! (Un tirage sympatoche, svp)
Yubel

Civil(e)

Yubel

Métier : Ecrivain

Dorikis : 1900

Messages : 53
Date d'inscription : 20/08/2020

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Re: La traque du canidé - Shinji Nakata — Mar 8 Sep 2020 - 21:29
Décision finale : Fruit du Bake Tanuki

Puisque c'est un fruit de rang S, nous attendons une présentation de haute qualité !

Bon courage à toi !
Balór

Adjudant

Balór

Localisation : West Blue
Métier : Épéiste

Dorikis : 1500

Messages : 7
Date d'inscription : 07/09/2020

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Re: La traque du canidé - Shinji Nakata — Ven 11 Sep 2020 - 18:41
Salut Shinji !

Je souhaiterai voir avec toi quelques points qui m'ont semblé dérangeant.

Tout d'abord, tu dis que tu as commencé le métier de chasseur entre 12-13 ans et cela ne pose aucun souci, mais trois paragraphes plus haut tu expliques que tu as développé une thèse (sur la décroissance cognitive) au fil des années. Je souhaiterai savoir à quel moment tu as pu avoir ce type de réflexion, parce que tu te doutes qu'il est difficile pour un enfant d'avoir un tel raisonnement.

Ensuite, il serait intéressant de développer un peu plus l'usage de ton fruit du démon, parce qu'on ne sait pas grand chose dessus mis à part l'acte de cannibalisme. De plus, qu'est-ce qui lui a permi de ne pas retomber dans ces travers par la suite ?

N'hésite pas à me mp lorsque les points soulignés seront corrigés.

Bon courage à toi !
Balór

Adjudant

Balór

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Dorikis : 1500

Messages : 7
Date d'inscription : 07/09/2020

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Re: La traque du canidé - Shinji Nakata — Ven 11 Sep 2020 - 20:50
Les modifications ont bien été prises en compte c'est super !

Honnêtement, je suis très friand des personnages complètement détraqué mentalement et le tien le prouve parfaitement en assassinant de sang froid la vieille dame.

Ajouté à cela, le cannibalisme qui est un aspect peu exploité, j'ai vraiment accroché. Impatient de voir laquelle de tes natures prendra le dessus, le côté psychopathe ou bien le côté bestiale.

Histoire atypique et plaisante à lire !

Tu es validé à 1600 dorikis en tant que chasseur de primes et au grade de chasseur acharné !

En bonus de préouverture, tu as le droit de demander une arme spéciale dans ce topic !

Je te mets ta couleur et ton grade sous peu !

Bon jeu sur WOP !
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