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Ōjin - Chasseur de primes (100%)
Tokoyami Ojin

Chasseur Acharné

Tokoyami Ojin

Localisation : West blue
Métier : Chasseur de primes

Dorikis : 3370

Messages : 120
Date d'inscription : 05/09/2020

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Ōjin - Chasseur de primes (100%) — Sam 5 Sep 2020 - 23:59


I. LE PERSONNAGE.


• NOM : Tokoyami
• PRÉNOM : Ōjin
• GENRE : Homme
• ÂGE : 26
• RACE : Humain
• METIER : Chasseur de primes
• FRUIT DU DEMON : Un jour
• CAMP : Chasseurs de primes
• AUTRE CAPACITE : Kenjutsu. Maîtrise la navigation (puisqu'il vogue en solo) et pisteur/traqueur hors pair.
• AVATAR : Takasugi Shinsuke - Gintama


II. LES DESCRIPTIONS.


MORALE
Délicieusement cynique et atrocement sarcastique. S’il est une chose propre au chasseur qu’il est, il s’agit bien du flegme impérieux sont il semble pouvoir faire preuve en toutes circonstances. Que vous soyez riche, pauvre, grand, maigre ou surpuissant, Ojin ne vous accordera sans doute pas plus d’attention que de respect. Son esprit est bien trop occupé pour vous accorder du temps.

Avide et indécis. S’il est avide de possessions, ses désirs changent aussi souvent que les courants marins. Ainsi, certains pirates jurent lui avoir survécu alors qu’il était pourtant prêt à les abattre. D’autres murmurent que leurs possessions ont mystérieusement disparu après son passage… sans jamais pouvoir être sûr de ce qui est arrivé. Car s’il est une chose qu’apprécie tout particulièrement le chasseur de primes qu’il est, ce sont les gains. Et ce, qu’importe la manière dont il les obtient.

Pourquoi l’argent demanderez-vous ? Ou peut-être pas. Tout le monde recherche la richesse en fin de compte. Mais les objectifs du chasseur, eux, sont plus… variables. Car s’il aime l’argent, ce n’est pas dans l’optique d’amasser pour mener une quelconque vie de rêve ou investir dans un projet lui tenant à coeur. Non. Car le trait caractérisant au mieux Ojin est l’envie immuable de s’occuper. Vibrer. Ses envies sont si changeantes que la moindre chose digne de son intérêt pourrait subitement devenir obsolète dès le lendemain. Et parmi  toutes les choses pouvant éveiller sa convoitise, quoi de mieux que l’argent pour les obtenir ?

Ainsi, s’il pourrait sembler agir avec avenance en votre présence, ne baissez pas votre garde trop vite. Peut-être vous trouvera-t-il ennuyeux le lendemain. Peut-être aura-t-il soudainement envie de vous défaire de toutes vos possessions. Peut-être disparaîtrez-vous mystérieusement au détour d’une ruelle… après tout, qui pourrait bien prévoir ce qu’il a derrière la tête ?

En définitive, Ojin est un homme imprévisible. Fourbe. Impitoyable. S’il est une chose qu’a compris le jeune homme dès l’enfance, c’est qu’une vie ne peut être pleinement vécue qu’en embrassant entièrement tous les plaisirs possible qu’elle puisse vous apporter. Et ils ne viendront jamais à vous tout seul.


PHYSIQUE
Un sourire malicieux et un regard félin. S’il pourrait évoquer une certaine malice pouvant en mettre mal à l’aise certains, d’autres apprécieront l’air charmeur du jeune homme, en particulier les femmes pour qui ses sourires sont les plus beaux. Car s’il est une chose perceptible entre le cynisme d’un côté et le flegme de l’autre, il s’agit bien de ce ton posé qui l’accompagne en permanence, agrémenté d’un sourire presque immuable. Qu’importent les circonstances, vous n’arriverez jamais à saisir ses intentions…

Une odeur rappelant les effluves de jasmin. Doucereuse et relativement discrète, celle-ci l’accompagne partout excepté les quelques fois ou le sang de ses primes recouvrent toutes traces olfactives. Celle-ci n’est pas liée à un quelconque parfum ou effluve corporelle -bien qu’il l’apprécierait sans doute- mais bien en raison de son lien avec le thé. En effet, de par son passé, Ojin garde toujours quelques fleurs et feuilles de thé dans son kimono. Et le thé au jasmin est justement son favori.

Ojin est bien souvent vêtu d’une tenue traditionnelle aux sabreurs, bien qu’il soit loin d’être un fervent pratiquant de cet art: un kimono. Fidèle à ses goûts changeants, celui-ci est rarement le même. Seules ses geta semblent respecter une constance relative, en raison de la variété de choix restreinte. Pour finir, élément important ne le quittant pour ainsi dire jamais: un katana qu’il porte en permanence sous le bras. S’il semble excessivement simple, étant simplement rangé dans un bête fourreau de bois, celui-ci en a déjà occis plus d’un. Ojin l’utilise de manière bien peu orthodoxe, faisant bien souvent des mouvements aussi fourbes qu’imprévisibles en l’agitant de manière contre-instinctive pour mieux surprendre ses adversaires. Fait également notable: son fourreau lui est aussi utile en combat que son sabre, dont il se sert majoritairement pour parer les coups de ses ennemis ou exécuter des feintes.

Mais tout ceci est bien dérisoire en comparaison de l’apparence physique n’est-ce pas ? Les gens sont si superficiels…

D’aucuns pourraient lui trouver une certaine beauté. Son visage, doté de traits fins et relativement juvéniles, est contrebalancé par la puissance de son regard. Regard n’étant d’ailleurs retranscrit que par son oeil droit, le gauche étant éborgné et par conséquent perpétuellement dissimulé par un bandeau de fortune. Chose dont il change d’ailleurs régulièrement la cause, inventant perpétuellement une nouvelle histoire à qui lui demande de quelle manière son oeil a été perdu. Sa voix, elle, est aussi suave que caverneuse. Un mélange harmonieux en somme, très agréable à l'oreille.

Pour finir, la carrure. Haut d’un mètre 85, cette taille ne l’handicape nullement en terme d’agilité et de souplesse, deux facultés physiques qu’Ojin travaille depuis des années. Ses muscles, eux, bien que saillants, restent relativement discrets sous ses vêtements et ne sauraient rivaliser avec les plus grands athlètes. En revanche, gare aux malheureux qui sous estimeront sa force brute…


III. L'HISTOIRE.


Savoir, pouvoir, avoir. La connaissance, la puissance et la richesse. Voilà les forces qui dominent ce monde, la véritable Sainte Trinité après laquelle tout le monde court. Moi? Je n’ai que faire de l’or et des bijoux, de fidèles qui me suivent et me craignent. Je n’ai que faire d’être aimé, reconnu, respecté, plein aux as. Du moins… en fonction des jours. Car ce que je veux, ce que j’ai et ce que j’aurais sont les plaisirs éphémères. Le plaisir se complaisant dans l’instant sans jamais penser à l’avenir. Pourquoi s’entêter à construire ce que le vent pourrait balayer le lendemain ?

怠惰 L’oisiveté


Je suis né sur l’île du thé, quelque part dans l’océan. Je n’ai rien connu d’autre que l’opulence et l’oisiveté durant toute mon enfance. Mes parents, dont j’étais le seul et unique enfant, un véritable miracle, me traitaient tel un roi. Nous vivions au sein d’un havre de paix, la ou le sable doré reflétait continuellement la majesté de l’astre solaire flottant avec arrogance juste au dessus de nous. Entouré d’amis et d’un océan se profilant à perte de vue, je ne me suis jamais posé de questions sur le reste du monde. Un monde que je ne pouvais ni voir ni entendre, ni toucher ni sentir. Mes parents m’ont toujours fait croire que nous étions seuls sur terre, ils me racontaient des histoires formidables tirées de la poussière du sol sans doute pour compenser notre isolement.

La température était idéale toute l’année. La végétation, luxuriante. Les richesses, abondantes. Nous passions nos journées à jouer sans nous soucier du lendemain, les feuilles de thé dont l’île abondait nous servaient toute l’année pour la confection des meilleurs Gyokuros. Je dois avouer l’apprécier particulièrement lorsqu’il est mélangé au yuzu, chose m’ayant d’ailleurs suivie à travers les âges. D’aucuns me demanderaient d’ou me vient ce talent à la préparation du thé, ici se trouve donc la réponse. Paraît-il qu’ils fleurissent beaucoup en cette période de l’année… mais il sera difficile d’en trouver autant que sur mon île natale.

Très jeune, j’ai pris goût à posséder… et à détruire. J’ai toujours apprécié cette sensation de privatiser les meilleures richesses, les plus belles fleurs, les plus jolis bijoux, les plus belles femmes… qu’il est plaisant de se sentir seul maître de ce que l’on a convoité, et de le posséder ensuite. Hélas, le ciel m’a également doté d’une grande lassitude me poussant bien souvent à perdre l’intérêt que je place en ce que j’ai. La destruction est le meilleur moyen de s’assurer que ces choses jamais ne subsistent entre les mains d’autrui, n’est-ce pas ? Ce qui est à moi m’est précieux, ce qui l’était n’est plus. Ainsi, j’aime faire sans cesse de nouvelles découvertes et renouveler sans cesse mes possessions comme mes connaissances.

Il m’arrivait ainsi de me battre. Une si petite île, aussi paradisiaque fût-elle, restait trop étroite pour moi et mes envies. J’appréciais prendre à autrui, pour la simple et bonne raison qu’un caillou possédé par un camarade devait forcément être plus digne d’intérêt qu’un autre trouvé au hasard des grains de sable. Si ma capacité à juger de la valeur d’une chose est aujourd’hui bien supérieure, cette lointaine époque n’était que le prémice de mon désir insatiable de plaisir. Ainsi, étant incapable d’évaluer moi-même ce qui pouvait valoir mon attention, j’aimais me référer aux autres. Après tout, si vous ne savez pas qui est digne d’intérêt, regardez sur quelle tête est posée la couronne.

怒り Courroux

Mais ce comportement de plus en plus chaotique et incontrôlable ne faisait pas bon vivre sur l’île du thé. “Les feuilles tarissent de ton avidité, Kamui” Disait sa grand mère. L’île avait toujours prôné le bien être, la bienveillance et l’entente mutuelle. Et tout s’était manifestement déroulé pour le mieux grâce à l’éducation des parents, jusqu’à ma naissance. J’étais un véritable un petit diable dont la venue et le chaos engendré dans mon sillage commençaient à inquiéter les habitants de l’île. Ainsi fût prise la décision de m’enfermer jusqu’à ce que l’on parvienne à extirper le mal qui était en moi.

On me fit boire un nombre incalculable de variétés de thés différents à m’en irriter la vessie. On tenta de me mettre au yoga, de me lire des histoires, de me masser, sans jamais me frapper ni même me jeter à la mer comme n’importe qui d’autre aurait pu le faire. Mes parents étaient des gens bien, il serait difficile de le nier. Mais ils étaient probablement trop idiots pour réaliser que ce que j’étais devenu n’était que la suite logique d’une vie d’oisiveté ou tout vous tombait dans les mains sans avoir à faire le moindre effort.

Quelques mois passèrent donc en ces conditions, au cours desquels mon dixième anniversaire eut lieu. Un soir, alors que mon éternel cachot aménagé me servant de chambre était resté ouvert, j’eus décidé de descendre après avoir entendu des bribes de conversation au salon. Tendant l’oreille, la conversation que je surpris fût sans doute le premier véritable tournant que pris ma vie.

“ Nous ne pouvons plus continuer comme ça. Cela fait au moins trente ans que nous sommes la, les ressources commencent à manquer. Nous sommes trop nombreux pour cette île, nous n’allons pas tarder à la vider entièrement. “

Si je ne pouvais les voir, la voix de ma mère m’était apparue sans hésitation.

“ Mais la marine nous cherche sûrement encore, Serval a croisé des navires en se rendant sur le continent l’autre jour. “

“ C’est pourquoi nous devrions partir trouver un nouveau havre de paix. A force de faire de petits ravitaillements, nous allons finir par être démasqués. “

“ On peut le faire. On leur a déjà échappés une fois, qu’est-ce qui nous en empêcherait cette fois ? “

Personne ne savait ce qui les attendait. Ni même ce qui serait la raison de leur chute. Et à vrai dire moi non plus, pas à cette époque. Je m’étais simplement contenté de retourner dans ma chambre après avoir jugé en avoir assez entendu, cogitant alors dans mon lit des jours durant… jusqu’à ce que mes parents, dans leur grande mansuétude, décidèrent de me redonner une chance. Je n’avais plus aucune raison de leur résister désormais. Car pour en apprendre plus, pour toucher du bout du doigt l’inconnu, il me fallait être vierge de tous soupçons.

反逆 Trahison

Tout s’était enchainé très vite ensuite. J’ai toujours eu de la suite dans les idées, et mes parents étaient bien trop idéalistes pour soupçonner que leur chute puisse venir d’ici. Ainsi, profitant d’une absence de ces derniers pour fouiller la cave de fond en comble, je trouvais de vieilles coupures de journaux et avis de recherche sur lesquels les visages de mes parents et de leurs amis étaient reconnaissables bien que moins abîmés par les affres du temps. “ Bande vivaldi, 50 000 Berrys”. Les journaux, eux, m’apprenaient leurs exactions, m’apprenaient le rôle de la marine par le biais d’habiles déductions dont j’étais l’auteur, et m’apprenaient la signification des berrys.

Un enfant a toujours besoin d’explorer de nouveaux horizons. Comme lorsque le nouveau né découvre le monde avec sa bouche, j’avais besoin de tâter de mes mains cet argent que promettait la prime. Je ne me souviens pas avoir jamais aimé mes parents. Ou était-ce l’appât du gain qui eut raison de l’amour que je leur portais ? Je n’ai jamais sû répondre à cette question. Toujours était-il qu’en pleine nuit, alors que l’île était plongée dans son plus profond et dernier sommeil, je prenais le large à l’aide d’une barque laissée à l’abri des regards.

Ce fut sans doute ce jour la que m’était venu cet amour de l’océan, un amour que je n’ai d’ailleurs toujours pas perdu. Sans doute est-ce bien la seule chose dont je ne me suis pas encore lassé, sans compter le thé. La douce brise, la beauté de l’océan et de ses vagues dissimulant mille trésors en ses profondeurs… tant de choses que, même moi, ne pourrai jamais effleurer de mes mains.

J’ai toujours cru avoir été guidé par une bonne étoile. Sans jamais avoir pris la mer, au sein d’une barque minable au milieu de l’immensité de l’océan, un navire de la marine croisa finalement ma ridicule embarcation après plusieurs heures de voguements hasardeux. L’aube tendait à poindre derrière la ligne d’horizon, et la conclusion de mes ambitions avec. La première chose que je fus alors même que les marins me remontaient au pont, craignant pour ma santé, fut de leur tendre l’avis de recherche.

“ Je peux avoir cinkantmil bérrys si je vous montre ou sont ces gens s'il vous plaît ? “

S’ils prirent d’abord mes paroles pour des plaisanteries, j’eus tôt fait de balayer tous leurs doutes.

“ Lui la, il s’appelle Tokoyami Shingen. Elle, Tokoyami Touka. Lui, Wolpertinger Evio. Et… “

“ Ok, gamin, ok. Sois notre guide, et tu auras ta prime comme convenu. “

Clamait le capitaine du navire, un homme en uniforme haut sur pattes. Et alors que nous prîmes le cap en direction de l’île du thé, ce dernier me posa une question.

“ Comment sais-tu tout cela petit ? “

“ Oh, ce sont mes parents. “

Mes souvenirs sont relativement flous. La fatigue m’avait bien vite gagné après cette longue nuit de navigation. La seule chose dont je me souviens est du sourire ayant germé au coin des lèvres de cet homme trop grand pour que je puisse détailler son visage à l’époque.

Je n’ai jamais assisté à la suite. J’avais sommeil et un enfant a besoin de repos. Je me souviens seulement des cris ayant accompagné mes rêves, et des quelques coups de feux ayant été échangés sous la lumière de l’aube. Je n’ai jamais pu dire au revoir à mes parents ni à mes amis. A vrai dire, je n’ai même jamais su qui avait été tué et qui avait été fait prisonnier. Tout ce dont je pouvais attester… était que les feuilles de thé avaient fané.

貪欲 Avidité

La vie suivit son cours alors que les années passèrent. S’il était bien une chose que j’eus apprise très vite, c’était l’importance de l’argent. Quoi que je puisse en faire et qu’importe la manière dont je le dépensais, l’argent m’ouvrait et m’ouvre toujours de nombreuses portes. L’argent m’amène ce dont j’ai besoin en l’instant et me permet d’assouvir mes envies à volonté. Mais pour cela, il m’avait fallu trouver une activité lucrative. Une activité que j’avais en réalité commencé à exercer dès mes dix ans sans même le savoir. La chasse à la prime.

Je suis trop fainéant et attaché à mon confort pour prendre le risque de devenir pirate. Mais je suis aussi trop avide pour mener une vie d’honnête citoyen qui ne me rapporterait pas grand chose d’autre que de la monotonie. Travailler pour la marine ou le gouvernement de manière directe ? Très peu pour moi. Je n’aime pas travailler en équipe, partager et me plier au comportement d’autrui ne ferait que me gêner. Chacun voit midi à sa porte.

Ainsi, des années passèrent. Plus d’une dizaine. Le métier de chasseur de primes est dangereux mais a le mérite d’être très lucratif. Et au cours de mes nombreux voyages, mon intérêt s’est de plus en plus porté vers ces trésors inestimables et mystérieux que renferment le monde. Les fruits du démon. Quelle est leur provenance ? Pourquoi existent-ils ? Quel pouvoir pourraient-ils me donner ? Tant de questions sans qu’aucune réponse ne me soit parvenue. Plus les jours passent, plus ceux-ci occupent mes pensées. J’ai commencé à enfreindre certaines lois dans le cadre de mon travail. J’ai parfois tué sans prime à la clé, ou l’ai récupérée ailleurs. Que voulez-vous. Je n’ai jamais été quelqu’un de très constant. S’il me faut devenir pirate ou révolutionnaire pour goûter aux fruits du malin… le prix payé serait bien dérisoire.

Qu’en ferais-je une fois en ma possession ? Qui sait. Il m’est arrivé de balancer des joyaux à la mer.


IV. DERRIÈRE L'ECRAN.

TON PSEUDO ? Vault
QUEL ÂGE ? 21
COMMENT TU ES VENU ICI ? Batou m'a invité
TES IMPRESSIONS ? Ça donne envie.


FICHE PAR FALLEN SWALLOW

Bobby

Membre CP

Bobby

Dorikis : 2000

Messages : 35
Date d'inscription : 30/07/2020

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Re: Ōjin - Chasseur de primes (100%) — Dim 6 Sep 2020 - 15:59
Holà mon grand !

Vu que t'es un invité de marque du grand babtou, tu seras le premier à passer à la casserole ! Quelle chance n'est-ce pas ? :p

Allez, voyons ensemble ce que ça donne !

Hormis quelques lourdeurs çà et là, tes descriptions sont très bien écrites et très bien amenées. Tu l'as peut-être trop bien décrit d'ailleurs : j'ai eu l'impression d'avoir affaire à un criminel plutôt qu'à un chasseur de primes, ce qui m'a fait tiquer dans un premier temps. La minute d'après, je me suis finalement (et honteusement) rappelé que la population dans son ensemble les voit tel quel : une bande de racailles et de voyous qui n'ont d'yeux que pour le fric et la violence ! Ce qui veut tout simplement dire que tu as bien réussi ton coup. Ojin est un véritable chasseur de primes !

Ceci étant dit, fais gaffe à cette approche !

Ojin a écrit:
Que vous soyez riche, pauvre, grand, maigre ou surpuissant, Ojin ne vous accordera sans doute pas plus d’attention que de respect.

M'est d'avis que face à des types bien plus forts que lui style vice-amiraux ou lieutenants d'empereurs, il va pas avoir le même langage !

Pour l'histoire, si la forme est impeccable, le fond m'a laissé perplexe à bien de niveaux :

  • On passe d'un seul coup de l'isolement de la famille de ton personnage à sa propension à tout posséder et/ou détruire. qu'est-ce qui explique ce changement brutal ? On devine bien que c'est un pourri gâté qui a toujours été choyé par ses parents, mais même un pourri gâté ne peut pas devenir aussi facilement cruel sans expériences/raisons valables.

  • Deuxième gros point noir : A seulement 10 ans, le gosse est malin, espiègle, déduit tout très rapidement, est happé par sa convoitise et décide de partir tout seul à l'aventure via une barque alors qu'il n'avait jamais quitté son île auparavant. A 10 piges, ramer tout seul en pleine mer, c'est malheureusement limite. Dans le même sens, tu dépeins ses parents comme étant de gros idiots affables qu'il est capable de manipuler, alors qu'ils étaient des primés qui échappaient à la marine depuis longtemps. Tu vois où ça coince ?

  • Pour chipoter, j'aurai bien aimé savoir comment il a fini par embrasser la carrière de chasseurs de primes et qu'est-ce qui s'est exactement passé après qu'on l'ait repêché, mais bon. j'imagine que ce sont des parties que tu pourras retranscrire via flashabacks et je serai très heureux de les lire si jamais !


En conclusion, c'est une bonne présentation ! Certes, entachée de couacs, mais une bonne présentation quand même !

Tu es validé à 1400 dorikis en tant que chasseur de primes et au grade de chasseur acharné !

En bonus de préouverture, tu as le droit de demander une arme spéciale dans ce topic !

Je te mets ta couleur et ton grade sous peu !

Bon jeu sur WOP !
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